Comment y croire quand tout va mal

C’est facile à croire, s’attacher à ces nouveaux tendances et propulser l’enthousiasme de vivre quand la vie va à notre faveur, quand le courent nous pousse dans la direction qu’on attendait. Mais comment maintenir le même état d’esprit quand, jour après jour ce que nous arrive nos challenge, fait douter et semble que peu importe le niveau de nos pensées positives ça sert à rien quand et la vie décide autrement ?

La malchance vous frappe. Un proche qui décède, on perd l’emploi, une maladie qui arrive, le salaire que ne soufi pas, les enfants que grandissent et qu’on n’arrive pas à comprendre ou métriser ce qu’ils devient.

Mais alors toutes ces pensées positives, ces livres lus, ces discussions, ces partages dans les réseaux sociaux ? on a lu pratiquement toutes les recettes pour devenir résistant et protégé des mauvaise ondes: « the secret- Rhonda Byrne », «Miracle morning – Hal Elrod », « chose yourself- James Altucher », « réfléchissez et devenez riche-Napoleon Hill », « quand on veut, on peut- Norman Vincent peale », « le pouvoir du moment présent- Eckhart Tolle » ou « vos zones erronées- Wayne Dyer » et «the Moses Code-James Twyman » . Toutes des grands maitres. Même d’autres plus anciens comme « Tao Te ching- Laotzu » ou « As a Man thinkeeth-James Allen», des petites bouquins, mais avec une sagesse intemporel. Et pourtant….on tombe souvent dans l’échec et on doute de ce chemin de la pensée positive et contrôle de la pensé. Il semble que les autres sont chanceux et on ne l’ai pas. Qu’on est né comme ça et rien ne le changera.

Souvent dans ces situations les gens ont l’habitude de dire « t’inquiètes pas, ça ira mieux ». Est-ce que ça marche ou a un effet sur vous? Est-ce que quelqu’un d’entre vous n’a pas eu ce reflexe de se dire «  ah tiens, pensé positive. Je ne m’inquiéterais pas et ça ira mieux» !!! facile à dire, pas facile à faire ou adopter.

Alors on laisse tomber tout ce qu’on a lu, soutenu et cru ? On accepte qu’on a qu’à vivre une vie misérable?

NON. Pourquoi? Parce que cela n’est pas une option. Le moment qu’on travers actuellement pourra être difficile, mais ne sera lui que vous définira comme personne et ne sera là pour toujours. N’aura le pouvoir qu’on lui donne aujourd’hui ne nous faire sentir nulles. Les choses ne sont pas telle comme elles sembles, elles sont telles qu’on semble.

Mais alors, pourquoi, malgré notre « préparation» et sensibilisation on retombe dans les mailles de la fragilité ?

  • Notre cerveau continue à « Reigner » sur nous.
    • On doit tout comprendre. Tout doit avoir une explication logique et scientifique. Pas de place pour émotion, spontanéité, ou même pour le silence.
  • Bruit. Trop de bruit au tour de nous. Tous semble heureuse et faire la fête, sauf nous.
    • On doit tout comparer, décortiquer. On ne s’arrête jamais.
  • On mérite pas ça. On a tellement travaillé et donné qu’on ne mérite pas des mauvaises choses.
    • Nous ne vivons pas la vie en nos termes, mais selon ses termes
  • Il y aura toujours des circonstances et évènements qu’on n’arrivera pas à contrôler et métriser.
    • Soyons ouverts et regardons chaque situation esprit ouvert, qu’est-ce qu’on pourrait y retirer de bon ou positive ? Il n’y a rien de positive dans une certaine situation ? sure ? bon, dans ce cas-là, avançons, ne restons pas ancrés dans le passé.
  • On Planifie trop. On croit que tout se passera comme on l’a prévu.
    • Un plan c’est bien simplement comme direction et motivation, pas comme quelque chose de rigide dont vous seriez prisonniers.
  • On est perfectionnistes, on a bien travaillé (peu importe qu’elle action ou tache) pour arriver à un certain bute, pas à ce qui m’arrive.
    • N’oubliez pas, quand l’élève est prêt, le professeur sera là.
  • On s’attache. A tout et n’importe quoi. Au travaille, a la famille, aux gens. C’est claire qu’on sera blessé car tôt ou tard, un de ces choses ou personnes partirons. C’est la loi de la vie et tu changeras pas ça. Accepte le.
  • Erroné perception contrôle. Si on a tout prévu et planifie on est dans le « safe side ». Tu crois ?
  • Erroné perception de sécurité : Avec un bon job j’aurais une vie sans soucis, avec un bon mari j’aurais une belle famille, avec le sport j’aurais pleine santé…un petite accident et tout s’envole.
  • Résistance. On résiste a tout. Des opinions, des faits, des réalités. Je ne dis pas qu’on doit accepter les mauvaises choses sans rien faire, se serais du masochisme. Mais il faut le faire sans un sens de résistance, car la résistance provoque plus de contre force.
  • Résultats. Tout de suite. On n’a pas temps à perdre, on veut des résultats. S’ils n’arrive pas (quand on veut) on perd l’enthousiasme et on laisse tomber.
  • Importance. On cherche tous de l’importance. Peu importe a quelle niveau. Souvent elle n’arrive pas ou pas au niveaux attendus et on est déçus.
  • Déceptions: Parce qu’on attendait quelque chose ou quelqu’un ou et ça n’arrive pas. Attends riens, tout ce que t’arrivera sera un plus.

On est enchainée depuis longtemps à nos habitudes et nos pensées, qui nos limite, conditionne et contrôle. Avec ces démarches de lire et reprendre nos vies dans nos mains, un a des outils formidables pour une transformations de nos vies. Mais, le risque de récidivisme est là. Votre cerveau est le même, il vous surveille et lance le doute à chaque instant. Votre Ego est là. Il fera tout pour vous démontrer que tout cela c’est une illusion est qu’il faut devenir comme « toujours ».

Malgré la volonté ou désire de changer, souvent les gens préfère rester avec une vie ordinaire (rien contre cela si c’est votre conscient choix) que faire face à la peur de l’inconnu et se battre pour une vie plus heureuse.

Il faut se détacher. De son ego, de ses pensées habituels, des envies de répondre a tout et n’importe quoi, de contrôler tout et n’importe quoi, d’accepter tout ce que la vie nos envoie en notre direction, d’arrêter de critiquer, juger (souvent nous-même), d’essayer de tout comprendre et toute expliquer. Ce que je fais ? je me surveille. Je surveille mes pensées. Souvent quand le cerveau prends le relais et commence a juger je me dis « qu’est-ce que tu fais la ? ». Quand une situation plus compliqué s’annonce et il commence à faire le film a sa propre maniéré, je l’arrêt et je réponds « je fais ce qu’il me semble plus juste et correct pour une solution équitable, arrête tes filmes». Très souvent quand fais de la méditation, il y a des pensées et sensations qui se mêle. Je les surveille aussi. Je les attrape façon « coucou, c’est pas le moment, va-t’en ». Sans résistance en reconnaissant la pensé et la renvoyant de retour cat elle ne m’intéresse pas.

Les dernière temps je cherchais « l’illumination ». Je me suis dit, si je la trouve ma vie sera beaucoup plus facile car je serais tout le temps serein. Après quelques jours voir semaines j’étais dessus ou même frustré. La petite voix disait « tu vois, c’est une connerie ». Non, ce n’est pas une connerie. Je le cherchais avec mon cerveaux, presque comme quelque chose de physique. Je le cherchais ailleurs, dans l’espace, le ciel, la nature et pourtant rien, je continuais le même. Parce que je cherchais de la façon erroné et dans l’endroit ou espace erroné. On se croit tellement intelligent qu’on fait toujours les chose d’une façon logique et le raisonnable. Je devrais chercher pas ailleurs mais en moi-même. Dans mon silence, sans pensées à indiquer la direction. Je ne devrais pas « créer une image » de l’illumination ou de moi-même illuminé, mais de l’attendre sans raisonner que ce serait un état permanent. Toutes les erreurs que j’avais énoncé (et d’autres encore) m’ont empêché d’atteindre cet état de paix et tranquillité.

Suis-je en paix et tranquillité? absolument. Demain? Je commencerais la journée avec la même pensé que d’habitude « merci, ce sera une journée fantastique peu importe ce qu’il arrive ».

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